750 grammes
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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 12:44
Tout d'abord, bonne fête à toutes les mamans et surtout à la mienne.
Dans la famille douée, côté cartonnage il y avait déjà  la grand-mère, maintenant il y a aussi la fille. Voyez plutôt ce que j'ai eu aujourd'hui:



Et le petit déjeuner m'a été servi au lit, dans un plateau bien décoré...



Pour le dessert, c'est moi qui suis entrée en cuisine. J'ai confectionné cet amourochoc pour une collègue, mais j'avais augmenté les quantités pour faire quelques petites portions pour nous.(sans la partie sablé breton)
Cet amourochoc, dont ce n'est pas le nom initial, a été créé par M. Casula, champion du monde de pâtisserie.
Il est composé d'un sablé breton (il y avait une garniture croustillante mais je l'ai oubliée.)



Attention, les proportions données sont pour 4 entremets de 6 personnes !!!!

Ingrédients
190 g Jaunes d'œufs
360 g Sucre semoule
425 g Beurre fin
560 g Farine
45 g Poudre à lever
Procédé
Blanchir les jaunes avec le sucre, ajouter le beurre en pommade.
Incoroporer à la feuille la farine. Tamiser avec la poudre levante.
Réserver au froid. Abaisser et détailler des disques de 18 cm de diamètre.
Cuisson à 170°C.
 Sur ce sablé vient se poser un crémeux aux framboises.

Ingrédients
500 g Purée de framboise sucrée surgelée -
180 g Oeufs
160 g Jaunes d'oeufs
70 g Sucre semoule
6 g Gélatine feuille
180 g Beurre fin
Procédé
Pocher la purée de framboise avec les oeufs et les jaunes d'oeufs blanchis avec le sucre à 85°C.
Incorporer la gélatine et mixer.
Lorsque l'appareil est à 40°C, incorporer le beurre en lissant au fouet.



(inscription mom' je t'aime)

Ensuite,  j'ai réalisé dans un moule au diamètre de mon cercle la mousse chocolat-framboises incrustée de framboises fraîches.

Ingrédients
240 g Jaunes d'œufs
90 g Sucre semoule
100 g Crème UHT 35% M.G.
200 g Purée de framboise sucrée surgelée -
6 g Gélatine feuille
375 g Chocolat de couverture noir Caraïbes 72 %
450 g Crème UHT 35% M.G.
Procédé
Blanchir les jaunes d'oeufs avec le sucre.
Chauffer les 100 g de crème avec la purée de framboise et pocher à 83°C.
Incorporer la gélatine et mixer.
Verser dans la couverture hachée.
Incorporer les 450 g de crème fouettée lorsque l'appareil chocolat framboise est à 40°C.



Sous cette crème légère se trouve un cercle de gâteau au chocolat.

Ingrédients
100 g Pâte d'amandes supérieure 50 %
50 g Jaunes d'œufs
200 g Chocolat de couverture noir Guayaquil 64 %
60 g Beurre fin DGF
250 g Blancs d'œufs
85 g Sucre semoule
Procédé
Détendre la pâte d'amande avec les jaunes d'oeufs.
Fondre la couverture avec le beurre à 45°C.
Mélanger l'ensemble.
Monter les blancs avec le sucre et mélanger délicatement les 2 appareils.
Etaler finement sur 2 plaques 40/60. Cuisson 200°C.



Je récapitule donc : une couche de sablé breton sur lequel repose un crémeux aux framboises, lui même surmonté de crème légère chocolat-framboises incrustée de framboises fraîches et entrecoupée d'un disque de biscuit au chocolat.

Pour la déco, j'ai opté pour un cercle de chocolat monté grâce à un morceau de rhodoïd, de la ganache montée aux framboises, diverses sucres de couleur ou chocolatés et enfin des coeurs en chocolat avec un papier transfert pour la déco.



Le tout s'est révélé très bon, frais et léger en bouche.
Et vous, c'était quoi votre dessert?????
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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 19:20
Ce qu'il y a de sympa quand on a un blog de cuisine et des collègues attentionnés, c'est qu'on se retrouve avec tout un tas de produits à cuisiner. En ce moment ce sont les cerises. Hier c'est Yoyo qui en a rapporté une pleine cagette alors j'ai laissé libre cours à mes envies. Pour changer du clafoutis classique, voici ce que jai réalisé:

1/ financiers aux cerises



J'ai trouvé la recette chez Val . Ses photos étaient tellement appétissantes que j'ai eu immédiatement envie de tester aussi.

J'ai gardé la même base en ajoutant 2 gouttes d'essence d'amandes amères, puis j'ai divisé la pâte en deux. Dans une moitié, j'ai mis une cs de pâte de pistache.

- 340 g de sucre glace

- 120 g d'amandes en poudre

- 125 g de farine

- 3 g de levure chimique

- 335 g de blancs d'oeufs (10 blancs) ça m'a beaucoup surprise au début mais le résultat est là ;)

- 180 g de beurre noisette

- 3 g de vanille liquide

Préparer tous les ingrédients et préchauffer le four à 230°C.




Tamiser la farine mélangée au sucre glace.

Ajouter la levure et les amandes en poudre. Mélanger.

Mélanger cette préparation avec les blancs d'oeufs.

Incorporer le beurre noisette chaud, puis la vanille liquide.

Mouler l'appareil obtenu le plus rapidement possible dans des moules à financiers en silicone (j'ai personnellement utilisé une plaque à muffins dont j'ai beurré et fariné les orifices, et placé au frais pendant la préparation de ma pâte à financiers).

Cuire à four chaud, 230°C, jusqu'à ce que les financiers obtiennent une belle couleur dorée.

Au terme de la cuisson, démouler, et laisser refroidir.


 financiers natures

 financiers pistache

Dans chaque empreinte, une cs de pâte puis une cerise avec sa queue et hop au four.

Ils sont vraiment divins...Au milieu, un clafoutis cerises selon la recette testée lundi à la Pyramide : des oeufs, du sucre, de la farine et de la levure, c'est tout...




Notre envie de cerises étant encore très vive,

2/sorbet cerises



j'ai dénoyauté 350g de cerises, j'ai ajouté 50g de sucre, 50g de glucose atomisé, un sachet de stabilisateur et j'ai mixé le tout finement avant de le faire turbiner. Le sorbet a un bon goût de cerises et est très "moelleux". 



Bon c'est pas tout mais il reste des cerises.....
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2 juin 2009 2 02 /06 /juin /2009 17:36
Je commence ce billet par un aparté mais vous pouvez y jeter un oeil quand même ;)

Cher Wark qui m'a laissé ce com' la semaine dernière :"ces repas on l'AIRE IMANGABLE". Je ne réponds pas à ton adresse missjanou@hotmail.com car je me dis que ma réponse pourrait intéresser d'autres lecteurs.
Tout d'abord, sache que j'apprécie énormément ta visite et ta critique qui, bien que peu constructive, me permet d'arrondir mes fins de mois, mon blog étant sponsorisé ;) N'hésite donc pas à revenir.
Pour ce qui est de ton propos, deux réponses me viennent instantanément:
- la recette concernée date d'avril 2007. Si tu as attendu tout ce temps pour la déguster, il est clair que ses qualités gustatives ont disparu
- si tu parles du plat qui est chez moi, je te rassure, tu n'es pas invité à le déguster avec nous.

Enfin, soit tu es non francophone et tu es tout excusé, je parle moins bien l'anglais du new jersey que toi le français, soit tu es francophone et je te conseille vivement de contacter tes amis profs de français sur facebook, msn ou autre car tu fais des fautes impressionnantes...

Sur ce je ferme cette discussion et vous invite chers lecteurs à me suivre lors d'un week-end pas comme les autres.
Une fois de plus, les enfants se sont retrouvés sans leur père parti baguenauder dieu sait où et nous avons pris la direction de la maison de mes parents et de leur piscine où manon et baptiste se sont éclatés. J'en ai profité pour immortaliser les coquelicots qui bordent les champs de graminés et me font craquer,



puis j'ai , en bonne mère indigne (rassurez-vous, c'est du 41ème degré) laissé mes enfants 24h pour entrer dans un lieu magique.



Un peu d'histoire sur cette célèbre maison...(merci Wikipédia)

Fernand Point est un grand chef cuisinier français, (1897-1955) pionnier de la gastronomie française, premier chef à obtenir Trois étoiles au Guide Michelin en 1933 (jusqu'en 1955), considéré comme un des pères de la nouvelle cuisine. Il dirige le célèbre restaurant La Pyramide à Vienne près de Lyon en Isère de 1925 à 1955 et en fait pendant une trentaine d'années une référence de la gastronomie française.



La légende 

Fernand devient alors rapidement un des trois plus grands chefs Français de l'entre-deux-guerres avec Alexandre Dumaine à Saulieu en Bourgogne et André Pic à Valence en Dauphiné. Il fait à lui tout seul la renommée de Vienne et est considéré par le célèbre critique gastronomique Curnonsky comme le " sommet de l'art culinaire ". La Pyramide devient une étape gastronomique de grand renom sur la route nationale 7 (route du Midi) et une légende internationale où viennent manger les chefs d'Etat, têtes couronnées, acteurs, écrivains, célébrités, etc, du monde entier (la galerie de photo des clients de prestiges existe encore dans les couloirs de l'établissement à ce jour).

Durant la Seconde Guerre mondiale, Fernand Point décide de fermer son restaurant plutôt que de servir l'état-major Nazi qui veut diriger son restaurant et manger à sa table.

Dans les années 1950 il est le premier à donner un nouveau look à la table, nappage en fil, vaisselle de Limoges, verres en cristal de Baccarat et ambiance de fête à sa table.

Disparition et succession

En 1955 il décède le 5 mars à l'âge de 58 ans. Son épouse Marie Louise Point parvient à maintenir la renommée et les trois étoiles du Guide Michelin sans discontinuer jusqu'à son décès en 1986 avec les chefs Paul Mercier puis Guy Thivard.

1989  Marie José Eymin, la fille adoptive du couple, revend alors l'établissement le 18 juin après 1 an de tentative de succession au jeune grand chef cuisinier Patrick Henriroux (élève de Georges Blanc) et son épouse Pascale qui en sont les actuels repreneurs avec l'ambition de reconstruire la légende passée de l'établissement avec le temps. (1re Etoile en 1990, seconde en 1992, propriétaire de l'établissement en 1999). Ils avaient commencé par en être directeurs avant de devenir propriétaires.

Le boulevard de Vienne où se trouve son restaurant La Pyramide au n° 14 a été renommé boulevard Fernand-Point en son honneur.


Il a eu comme disciples, entre autres, M. Bocuse et les frères Trois Gros.

Ce chef de légende a été caricaturé avec sa femme :




Pour bien commencer la journée, j'y ai déjeuné en agréable compagnie (jeu de mots ;) )pour m'y forger de nouveaux souvenirs, mon dernier repas en ce lieu s'étant déroulé avec quelqu'un de bien moins fréquentable!!!


Tout d'abord quelques mises en appétit.



Brochette de saumon au concombre et sa crème, mini pan bagnat aux anchois et petit chou à la crème de foie gras.

Parmi une multitude de pains, j'ai choisi cette viennoiserie aux olives:


En entrée, nous avons opté pour des boudins de saumon au basilic, artichauts macaux à l'huile d'olive et émulsion de crustacés.



Puis ce fut un tournedos de cabillaud frais, cuisson au sautoir et purée de vitelotes, jus fumé pour l'un,



ballon de cannette de Challans, pastilla de chou au cassis, pomme rôtie pour l'autre :


Les cuissons sont juste parfaites, les saveurs se mêlent avec bonheur dans nos bouches...

Il est temps de sauter sur le dessert.
A. opte pour un baba au rhum sorbet pina colada



Pour moi ce sera un moelleux aux noix et pommes caramélisées et sa divine crème glacée au miel d'acacia.



Pour accompagner le premier café, quelques mignardises de rêve:


macaron violette (et cassis??),


sablé breton, pomme, chantilly aux noix et rose cristallisée,


millefeuille chocolat/passion.

Nous préférons nous lécher les babines plutôt que de tâcher les belles serviettes.


Un des sommeliers nous propose ensuite un deuxième café que nous prenons en terrasse (ce sera en fait une verveine pour moi)
et comme nous avons été sages, nous avons droit à des sablés aux noix
 et à de charmantes sucettes fraise/framboise à l'image de la maison.

Le temps s'est dégagé et nous sommes bien, tout comme notre voisin le lézard (avant -dernière photo en bas à droite de la mosaïque)



Nous sommes bien mais le chef Patrick Henriroux nous attend déjà dans sa cuisine pour un cours démonstration (et dégustation, bref un peu comme un deuxième repas ;) )

Nous commençons par un florilège de bonite en croûte de céréales, croquant de légumes et sorbet de tomates

Sous les doigts agiles du chef, ça a l'air hyper simple...En tous cas c'est excellent, je suis subjuguée par le tartare de thon...

Après la partie dégustation, ce sera le tour du rouleau d'été aux piquillos, aubergines, fromage de chèvre frais et ses crevettes.



C'est frais, léger et facile, ces petits rouleaux sont un pur délice.

Ensuite, M. Henriroux laisse la place à François-Xavier Bouvet, alias FX, le chef pâtissier aux idées fixes ;)



Il va réaliser pour nous le clafoutis de sa maman avec un parfait glacé à la verveine (une révélation pour moi) et une tuile amandes garnie de cerises flambées à l'amaretto. Malgré tous ces mets dégustés, nous nous régalons une fois de plus. Les deux chefs sont clairs, précis, souriants et répondent à toutes nos questions. Bref une parenthèse enchantée bien agréable. Merci A. pour ce magnifique cadeau d'anniversaire, tu es un amour...

A bientôt pour une recette (pas celles du cours !)

ps: un joli cliché d'Erya, la dernière folie de ma maman.


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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 18:22
Vu sur facebook puis chez Sandra sur ce blog, ce gâteau pur amandes a fait la joie de notre pause café du mardi matin.  

Il faut dire que tous les mardi de 9h à 10h, nous nous retrouvons avec ma collègue et copine F qui est un peu comme ma deuxième maman. Nous avons la même heure de pause et nous en profitons pour souffler un peu entre deux cours, boire le café et papoter en racontant des bêtises ou en parlant boulot. Il nous arrive même de faire les LDP ;)  (spéciale dédicace à mon "voisin" happyday)
Pour améliorer l'ordinaire, je prépare chaque mardi une nouvelle gâterie (au diable les kgs, on n'a qu'une vie!!!!)



Je vous remets la recette, il est très rapide à préparer.

 (pour un moule de 20 cm x 5 cm rond ou carré)


pour la croûte caramélisée
  • 10g de beurre mou
  • 40g d'amandes effilées
  • 2 cs de sucre

pour la pâte
  • 115g d'amandes entières 
  • 160g de sucre
  • 1 pincée de sel
  • 1/2 cc d'extrait d'amandes
  • 3 oeufs
  • 115g de beurre tempéré
  • 1 cs d'Amaretto
  • 45g de farine
  • 1/4 cc de levure chimique

La croûte caramélisée est facultative: si vous préférez un gâteau tout doux, beurrez simplement le moule et déposez au fond un rond de papier cuisson du diamètre du moule choisi.

Préchauffer le four th. 6 (180°C).

Pour la croûte caramélisée

Beurrer généreusement le moule sur le fond et les côtés. Répartir les amandes effilées sur le fond et en plaquant sur les parois du moule (sur une hauteur de 2-3 cm). Saupoudrer avec le sucre et le répartir également sur les parois du moule. Réserver.



Pour la pâte

Verser les amandes, le sucre, le sel et l'extrait d'amandes dans le bol d'un robot multifonctions muni de la double lame. Mixer par petites pulsations jusqu'à obtention d'une poudre plus ou moins fine selon les goûts.
Ajouter les oeufs, le beurre coupé en morceaux et l'Amaretto (ou Kirsh) et mixer jusqu'à ce que l'appareil soit mélangé parfaitement.
Ajouter la farine et la levure chimique et mélanger juste assez pour obtenir une pâte homogène.



Verser la pâte dans le moule préparé en égalisant la surface avec la maryse. Enfourner et cuire pendant 35 à 40 min ou le temps que la surface du gâteau ait une couleur dorée-caramel et qu'un cure-dents piqué au centre du gâteau ressorte propre. Refroidir sur une grille pendant 10 min puis passer délicatement un couteau à beurre ou une spatule entre les bords du moule et le gâteau en veillant à ne pas trop abimer la croûte et démouler sur l'assiette de service.


Pour finir ce billet, voici mon nouveau séchoir à pâtes. Entre lui, mon ka et mon laminoir ka, les pâtes se font les doigts dans le nez. Ici tagliatelles natures (à gauche) et tagliatelles au confit de tomates séchées. (sur la droite)


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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 20:53

Je ne sais pas chez vous mais ici c'est minimum 30° dehors, 28° dans l'appart' alors tous les moyens sont bons pour avoir frais.
Ce week-end on a opté pour les glaces et sorbets. Sorbet verveine et framboises fraîches au sucre, glace coco, glace toblerone/tonka...

1/ glace toblerone/tonka

piquée chez Claude-Olivier

125g de Toblerone
25cl de lait
120g de sucre en poudre
5 jaunes d’oeuf
1.5dl de crème
1/2 fève Tonka




Tout mixer ensemble puis cuire à 85° . Laisser refroidir puis turbiner. J'ai ensuite ajouté quelques éclats de toblerone avant de mettre au congel'
.

2/ glace coco puis bounty maison

Tout le monde devrait avoir une copine Anne. Avec Anne on papote, on médit, on fait chauffer la carte bleue, on cuisine des heures en papotant, en riant....et on échange des recettes. Celle-ci vient d'elle et franchement elle est à tomber!!!



Ingrédients :
- 75g de chair de noix de coco (je la trouve en boîte au Paristore)
- 1 boîte de lait de coco (40 cl)
- 4 jaunes d'oeufs
- 100 g de sucre
- 50 de noix de coco râpée
- 250 g crème fraîche



Préparation :
Passer la chair de noix de coco au mixeur. Faire chauffer le lait de coco et la chair de noix de coco dans une casserole. Pendant ce temps, mélanger le sucre, la noix de coco râpée et les jaunes jusqu'à ce que le mélange soit jaune clair et mousseux.
Verser petit à petit le lait de coco bouillant sur les oeufs et remettre à chauffer sur feu doux, sans cesser de remuer avec une cuillère en bois. Quand la crème nappe la cuillère, ajouter la crème fraîche et verser dans la sorbetière.
Laisser prendre 2-3 heures......... et déguster !!!!!!!!!!!!



Pour les bounty maison, couler la glace dans des empreintes allongées ou dans une terrine, laisser figer au congel', démouler, couper si besoin puis enrober de chocolat au lait fondu.



Enjoy....
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21 mai 2009 4 21 /05 /mai /2009 21:38
Tout d'abord merci pour vos messages sur mon billet précédent, le salé n'est pas mort!!!!!

Qui dit week-end de 5 jours dit enfants à occuper, surtout lorsqu'ils attendent quelqu'un qui ne vient jamais.... Du coup on a pris la voiture, la mamy et hop, direction la Bourgogne...

1° arrêt à Cluny. Pas trop de photos car elles sont interdites à beaucoup d'endroits.



Les pierres taillées sont magnifiques et la maquette nous montre ce que fut Cluny. Elle ne l'est plus, en partie à cause de Napoléon qui fit bâtir avec les pierres issues de la démolition de la Maior Ecclesia (la grande église) ce qui est aujourd'hui le haras national...



Nous sommes d'ailleurs arrivés à point nommé pour assister à un parcours de sauts d'obstacles. Les enfants étaient ravis.


Sur le montage on voit aussi la façade du palais de justice et l'entrée de l'Ensam, école nationale supérieure des arts et métiers.

Nous avons ensuite poursuivi notre route (non sans un arrêt dégustation de vins...) vers St Amour, bourgade romantique s'il en est...



Il y avait de bien belles fresques, des vignes à perte de vue et un rond-point surprenant avec de grands verres ornés de vigne. Les enfants ont été interpellés par une immense fresque collégiale.

Nous sommes ensuite arrivés à Juliénas où le guide du routard (sacré farceur!!!) nous annonçait de succulentes cuisses de grenouilles. Les enfants, eux, se réjouissaient à l'avance en songeant à une belle assiette de frites. Ni les unes, ni les autres ne nous furent servies mais plutôt ce qui suit :



Carpaccio de saumon, jambon persillé, saucisson lyonnais et lentilles, fricassée de poulet façon coq au vin et pâtes fraîches, brochette de pur porc à la gauloise (sauce beaujolaise) et son écrasée de pommes de terre à l'huile d'olive, glace (celle à la vanille était bien garnie en grains noirs...) et tuiles aux pralines.
Le décor était on ne peut plus original, beaucoup de vieilles affiches, pubs pour du vin, annonces de foire. Bien sûr, l'animal auquel le bistrot de cuisinier devait son nom tenait une place importante... Saurez-vous l'identifier????



Mais le lieu semblait aussi être possédé par un amateur de pétanque puisqu'un vieux jeu y trônait, ainsi que d'éloquents tableaux proposant de "baiser Fanny"....Pittoresque...






Une fois nos mets engloutis, nous avons  pris le chemin de Romanèche-Thorins, ville où se trouve le Touroparc. Le lien vers  le site vous expliquera en détail leur façon  de gérer le parc et ses occupants.

Ce zoo a la particularité de mêler parc animalier fort bien pourvu où les enfants ont le droit de nourrir les animaux et parc d'attractions. Bon côté attractions, j'avoue qu'on a fait le minimum car il y avait un monde fou, le soleil étant de la partie (31°!!!), mais nous avons passé 3 bonnes heures au milieu des animaux.



Après les bébés cygnes noirs  et les perroquets, nous avons été émerveillés par le paon blanc faisant sa cour. Sa roue était superbe et le bruit des plumes qu'il faisait frémir m'a impressionnée.
Manon, elle, a craqué pour la famille suricate et ses deux bébés. Elle a aussi été épatée de voir un hippopotame d'aussi près.





Mais les 4 animaux qui ont fait l'unanimité sont les lionnes, les tigres blancs ( c'est un des rares parcs français où l'on peut en voir), les loups des bois (j'adore les loups) et enfin le chimpanzé qui a conquis tout son public en  tapant des mains et en faisant la manche pour réclamer des cacahuètes qu'il attrapait au vol avec une dextérité surprenante.




Si l'on excepte les 4 genoux de moins de 10 ans ornés de belles plaies suite à une course sur les pavés Clunysiens, nous avons passé une excellente journée et je ne peux que vous recommander de faire une pause dans ces lieux si vous passez par là.
Je reviens d'ici la fin du week-end avec des desserts de saison...La chaleur m'inspire ;)
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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 16:38
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14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 21:41
Oui il fallait un gâteau de taille pour cet anniversaire alors j'ai choisi selon mes envies et celles de mes amies cet entremet dans un livret Demarle.



Pour la base croustillante
fondre 110g de chocolat au lait. Ajouter 20 g de beurre et 110g de nutella. Bien mélanger puis ajouter 5 galettes de riz Bjorg aux céréales émiettées. Couler dans le cadre de votre choix et glisser au congel.

Pour le crémeux chocolat
(j'ai utilisé mon thermomix pour aller plus vite, moins de 30 minutes pour l'ensemble du gâteau)
ramollir 2 feuilles de gélatine. Dans le thermomix, mettre 3 jaunes d'oeuf, 30g de sucre et 70g de lait, 190g de crème. Cuire 4 minutes (environ 85°) puis ajouter 170g de chocolat noir et la gélatine. Laisser tiédir puis verser sur le fond croustillant et réserver au frais.



Pour la mousse nutella
Même principe que ci-dessus avec 4 jaunes d'oeufs, 60g de sucre, 150g de lait, 150g de crème, 5 minutes à 85°. Ajouter 90g de nutella et 4 feuilles de gélatine ramollies. Laisser descendre à 20° environ puis ajouter 300g de crème montée en chantilly. Couler sur le crémeux au chocolat et bloquer au froid.

Décercler et décorer (ici écriture à la poche à douille fine en chocolat noir - et l'explication du titre du billet- et perles craquantes de Valrhona) avant de déguster.



Il me restait un poil de mousse au nutella, ce fut l'occasion idéale pour tester mes nouvelles verrines.



Si vous êtes attentifs, vous reconnaitrez des ventouses à l'ancienne. On me les a offertes pour cet anniv', ça faisait hyper longtemps que j'en cherchais, je suis aux anges.....



Voilà, c'est tout pour ce soir mais je reviens très vite avec un peu de viande rouge ;)
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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 21:03

Plusieurs occasions festives et deux desserts à vous proposer, un léger et vite fait, l'autre plus élaboré.

1/ semblant de cheesecake aux fraises

 

Mixer un paquet de petits beurres (ça doit faire une douzaine de biscuits) avec une cuillère à soupe de beurre et tasser au fond d'un cercle (15 cm de diamètre pour moi).

Faire ramollir une feuille de gélatine. pendant ce temps, fouetter 250g de mascarpone avec 40g de sucre et 2 gouttes d'he de verveine. Chauffer 2 cs de jus de citron et y dissoudre la gélatine, ajouter au mélange.


Tout autour du cercle, dresser des demies fraises puis remplir avec la mousse de mascarpone. On peut ajouter des morceaux de fraises au milieu. Laisser prendre une bonne heure au moins au frais puis déguster.



2/ la forêt noire revisitée



Chauffer 250g de pulpe de griottes sucrée. Dissoudre dedans deux feuilles de gélatine  ramollie. Couler dans le cadre et bloquer au froid.

- Fondre 50g de chocolat avec 50 g de beurre. Ajouter 50g de sucre et 60g de farine puis un oeuf. Couler sur la flexipat et cuire 8 minutes à 180°.

- Réaliser une ganache montée avec 120g de crème chaude et 250g de chocolat noir. Lisser puis ajouter 150g de crème froide. Cristalliser puis fouetter pour alléger la ganache.

- De la même façon, réaliser une ganache vanille avec 120g de chocolat blanc et 80g de crème bouillante dans laquelle une gousse de vanille aura infusé. Ajouter ensuite 140g de crème froide. Cristalliser puis monter au fouet.



 - Montage : Couper le biscuit en deux et en mettre une moitié au fond du cadre. Couler la ganache chocolat dessus en parsemant de griottes . Déposer la gelée de griottes puis le 2° gâteau. Dresser enfin la ganache vanille à la poche à douille et décorer avec des copeaux de chocolat. Garder au froid jusqu'au moment de décercler et de déguster.

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10 mai 2009 7 10 /05 /mai /2009 20:58
Chinée au détour d'une revue, cette glace a patiemment attendu la saison des fraises. celle-ci ayant commencé, j'ai pu succomber.

Mixer 600g de belles fraises. Ajouter 6 yaourts et un sirop refroidi fait avec 150g de sucre et 5 g d'eau.

Faire turbiner et juste avant la fin, ajouter une belle poignée de pralines concassées.
Garder au congel jusq'au moment de servir.

Le croquant des pralines est très agréable.

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